Mon Histoire
Environnement & héritage
Je viens d'une famille où se cachent des deux côtés des praticiens en astrologie, médiumnité, voyance, magie, reiki, guérison traditionnelle, etc.
J'ai une sensibilité atypique depuis l'enfance, je suis Hyperesthésique, Empathe, Synesthète et Haut-Potentiel.
Chamaniquement parlant, cette sensiblité provient de mes lignées de sang (celte, nordique, kabyle) et de mes précédentes incarnations (japon, Amérique du nord, etc).
Enfance
Jeune, j'étais capable de ressentir le pouvoir de l'esprit des animaux, percevoir l'aura, manipuler mes rêves (sortir, revenir, faire un rêve dans un rêve), sentir certaines choses sur les gens, sentir l'alignement avec un archétype spirituel, etc ... Vous l'aurez compris, j'étais connecté tôt au monde de l'énergie, des esprits, des rêves, de l'éther.
J'étais fasciné par la notion de transformation et de sublimation. Je regardais beaucoup de films d'arts martiaux, de magie et de science-fiction. J'avais un univers profond et possédais déjà une forte magie intérieure (de plutonien).
Je n'ai reçu aucun accompagnement pour ma sensibilité, mon haut-potentiel ni mes capacités extra-sensorielles. Je ne comprenais pas vraiment ma façon de fonctionner. J'ai tenté de me conformer dans cette société où il faut faire comme tout le monde pour être accepté.
A l'adolescence
J'ai découvert le monde intense des émotions profondes et c'est l'art (dessin, danse) qui m'a aidé à canaliser cela. La réappropriation des formes du tatouage tribal polynésien pour en faire ma version, m'a permis d'exprimer mon feu intérieur et mes mémoires tribales enfouies.
En sieste, je faisais des voyages spirituels dans d'autres plans grâce à certaines musiques qui ont des points communs avec la musique chamanique.
Les blessures émotionnelles commençaient à se réveiller de plus en plus.
Arrivé à l'age adulte - La chute
J'étais soumis à un énorme poids karmique (réincarnation) avec un bon paquet de blessures de l'âme activées (abandon, rejet, humiliation, injustice) et du transgénérationnel (familles avec dépression et alcool).
Vers mes 19 ans, j'ai eu quelque fois des sursauts de capacités médiumniques et chamaniques que j'ai tenté d'étouffer par peur. Et quand on les fuit, c'est pire que mieux. Une voyante m'avait même dit que j'avais un "pouvoir". Même si au fond de moi je savais qu'il y avait quelque chose, j'ai fui car je n'étais pas assez solide et sécurisé pour accueillir ça.
La Maladie-Malédiction du Shaman-né
J'ai commencé à aller de plus en plus mal, avec le réveil de blessures émotionnelles qui se cumulaient.
Mais la vie m'a rattrapé des années plus tard par la maladie et les drames (deux burnouts, dépressions, opérations, décès d'un parent, santé fragile).
J'ai développé de la dépression chronique, des maladies ORL comme la rhinite chronique aigue, les acouphènes et l'hyper-acousie.
A 20 ans, j'ai vécu une opération des sinus dont je me suis très mal rétabli. Je suis sorti avec de l'arythmie cardiaque, de l'anosmie, des problèmes de souffle et de récupération.
Dans la même période, j'ai vécu des échecs répétés à l'école, dans mon job étudiant, en sport, en amour, en amitié. Comme si tout me tombait dessus.
J'ai perdu mon père (cancer) à mes 22 ans alors que j'étais déjà à bout émotionnellement. C'était une période de chaos total. Le jour de l'enterrement, j'ai cru que j'allais m'évanouir et mourrir de douleur émotionnelle. Par la suite, j'ai commencé à développer des angoisses, des crises de fringale aigues, de l'impuissance, des crises de colère et à nouveau de la dépression.
A 24 ans, je faisais de l'hyperventilation suite à un tout petit accident de la route.
J'ai compris 10 ans plus tard que je traversais, avec ma fuite, une période que les chamanes sibériens nomment "l'appel du chamane". Ils disent que les esprits nous envoient des tonnes de problèmes jusqu'à ce qu'on comprenne et accepte notre nature profonde de "chamane-né". J'ai pourtant continué à fuir, à rester "fort", encore et encore jusqu'à exploser.
C'est ce big-bang dramatique qui m'a poussé à remonter la pente ou mourir. J'allais tellement mal que sortir de chez moi, respirer calmement, tenir debout était déjà un défi. Me retrouvant au pied du mur, obligé de prendre soin de moi, j'ai du admettre que je devais arrêter de m'ignorer, de fuir ma sensibilité et ma nature. J'avais aussi oublié ma magie si profonde et puissante pour me conformer à la société.
Mes études initiales (19 à 29 ans)
Pendant que je vivais ma nuit noire de l'âme du shaman-né, j'étudiais pendant dix ans les Arts Visuels, Plastiques, Sonores, Numériques et de l'Espace. J'ai fini avec une spécialisation pour l'enseignement (Belge) parce que j'aime transmettre. Tout cela m'a permis d'avoir un peu de temps pour faire des recherches intérieures.
Mon travail de fin de Master portait sur une forme d'Art Ethnique, Chamanique, mêlant Body Painting, Danse, Photo & Vidéo. J'ai traité des sujets purement chamaniques sans connaître ce concept intellectuellement parlant.
L'arrêt de la fuite de ma souffrance
Vers mes 26-27 ans, je suis arrivé à l'obligation de trouver des solutions pour aller mieux. J'ai commencé à assumer mon mal-être et me développer en commençant en autodidacte par la pratique de la méditation.
C'était très dur car mon mental était en pièces. Ensuite j'y ai ajouté la sylvothérapie, puis progressivement, avec les années, d'autres pratiques (auto-hypnose, visualisation créatrice).
Je testais tout ce qui me parlait, et fini par développer mes propres méthodes.
Souvent je lisais le début d'une méthode et j'embrayais direct à ma manière, car je sentais la suite très rapidement et je ne voulais pas remplir mon mental déjà surchargé. J'ai aussi fait intuitivement des techniques qui existaient déjà, sans le savoir.
J'ai tout construit de manière empirique. Je n'ai reçu aucune aide, je ne pouvais compter que sur mon intuition. Une volonté profonde a surgi.
Seul, en apprenant à écouter mon intuition et mon âme, par des exercices combinés entre respiration hypnotique, danse et musique, j'ai trouvé l'accès à la transe chamanique sans tambour. J'ai rencontré l'esprit de shiva.
Quand les révélations arrivent
Les révélations ont commencé à arriver à partir de mes 34 ans avec des rencontres humaines, spirituelles et d'ouvrages de référence. Mais aussi l'esprit de l'aigle me dit que je porte un héritage chamanique.
Au début je n'y croyais pas trop, je doutais beaucoup et je me méfiais que mon égo ne me joue des tours. Je voulais faire comme tout le monde avec ce fameux "cartésianisme" et "pragmatisme".
Mais j'ai ouvert progressivement les yeux sur mes capacités. Avec des recherches j'ai fini par dévoiler et commencer à comprendre mon potentiel chamanique, qui n'a d'ailleurs depuis jamais cessé de croitre.
Comme si c'était inscrit en moi depuis toujours. C'est alors que j'ai appris l'existence de mémoires karmiques de shamans, inscrites en moi.
J'ai mis du temps à comprendre et accepter d'être shaman, parce qu'être shaman c'est être différent de la masse, et à la fois accepter de se connecter à tout le monde. Mon mental et mon égo ont été très bousculés.
Ce n'est pas quelque chose qui s'explique par la logique occidentale. Mais au plus je revoyais mon histoire, au plus cette nature se révélait, des indices pleuvaient.
Jusqu'à retrouver très jeune la conscience de l'importance de l'équilibre des éléments et de l'esprit avec la matière. Enfant je jouais avec mes esprits gardiens, à travers certains jouets totemiques, et ado je les dessinais de façon éthérique à travers un style inspiré du tattoo maori.
Ma nouvelle Conscience (après 34 ans)
Mes révélations m'ont guidé vers de nouveaux outils chamaniques et énergétiques pour guérir en profondeur. J'ai appris à vivre et maitriser des processus de recouvrement de l'âme et d'animaux de pouvoir. Ce n'était pas nouveau pour mon âme. J'ai retrouvé des cordes à mon arc. Ensuite ma médiumnité et ma clairvoyance ont enfin pu être accueillies. Petit à petit, années après années, j'ai commencé à remonter la pente et m'alléger de ce fardeau si lourd à porter.
Ma Mythologie
Suite au développement de mes capacités chamaniques, j'ai reçu des noms spirituels d'initié. Par exemple l'esprit (celte) du grand cerf blanc m'a nommé "Yendebleth".
Cela signifie "porteur de lumière, racine du monde", à l'image de l'arbre de vie. Puis j'ai reçu le nom "Souffle Azuré", souvent résumé à "Azura", qui illustre mon énergie spirituelle. Et enfin "Ashura" pour ma lignée Japonaise.
Aujourd'hui
Je fais de mon mieux pour assumer mon potentiel comme Shaman & Artiste canal. J'ai développé de multiples cordes à mon arc et suis devenu thérapeute holistique en combinant Soins Chamaniques, Reiki, Magnétisme, Méditation, Sonothérapie, Musicothérapie.
J'accompagne les humains vers un mieux-être, un développement profond et suis considéré comme shaman par plusieurs personnes, notamment des shamans traditionnels.
J'ai découvert avec le temps que je pouvais composer avec mes diverses lignées.
Lignées de sang:
Celto-Nordique qui remonte à Oluf Sigurdson (Artisan et Devin-chamane) au 12è siècle, qui se divise en deux lignées.
Celte: par une druidesse de la pointe de la bretagne, qui remonte elle-même jusqu'au 3ème siècle avec un ancêtre druide.
Nordique: par un ancêtre finlandais d'Oluf, qui lui même remonte jusqu'à la Sibérie.
Kabyle: très peu explorée
Lignées réincarnation:
Lignée Sino-japonaise avec Yamano Enkiro au 8ème siècle. Soldat puis moine exorciste. Naissance en Chine, vie au japon.
Lignée Amérindienne avec Oiseau dansant-nuit-et-jour, Amérique du Nord.